Imagine le truc : Une mauvaise pensée dans ta tête, et une machine de guerre, pas virtuelle, se déclenche contre toi. (où toi c’est moi, parce que je pense à toi, mon prochain.)
Dégoûtant ? Infâme ? Alors la réflexion qui aura fini de t’achever: « Mais c’est pour le bien des autres! » … Exclamation à cette phrase, car c’est une personne d’une moralité douteuse (ou pire: on n’a pas plus de doute, on est sûr: c’est la voix du diable, de toi, de moi.)
Le bien-être d’autrui ? Que quelqu’un meurt pour moi ? Moi je n’accepte pas. Je dis : je mourrai, certes, mais pas pour quelqu’un, je te dirai pareil: ne meurs pas pour moi! Vivons ensembles! Tous, autant que faire se peut.
Certes, on n’aime pas ses voisins (dois-je mettre le e)… Mais ça ne viendrait pas à l’idée de partir à la guerre. C’est moche… la guerre.
Alors, c’est vrai cette année c’est les 200 ans de la bataille de Waterloo.. Et on en est pas loin ! Pas loin l’Europe… Bon je ne sais pas. Soit.
A bientôt,
Manu.
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