Prem’s
Non j’ai jamais été premier de classe. Snif. Rire. Je tiens à mes couilles. L’école c’est pour les filles, mais tout le monde doit y passer un certain temps. Après plus possible les horaires se défont dans la maladie. Mais ce n’est pas grave. C’est être un homme pas un robot obsédé par l’argent, si les robots ça fonctionne à ça. Voilà là c’est ma dernière poupée gonflée en date. Je vous montre pas sa tête quand même pour la sécurité des unes et des autres et la mienne aussi s’il-vous-plaît.
Je me suis tapé ce vagin plus de cent fois disons (selon elle parce que selon moi c’est mille et je ne serai ni le premier ni le dernier à me le taper.
Mais maintenant je suis pédé.
Eh bien je suis déçu du manque de sécurité en général sur internet et dans la vie. Même Anonymous il met un masque pour regarder des pornos ; après avoir maté il dit : « Oh les femmes elles sont abusées ».
Bon.
Après avoir écrit ce livre, j’ai failli mourir de peur. Les idiots disent : « C’est un livre testament il meurt à fin » En fait, moi j’écrivais entre deux parties de jambes en l’air calmement parce que ma copine, une petite gogole toute mince un peu tox, française, m’inspirait.
Pour en revenir à la photo, pourquoi je chie dans mon livre ? D’abord je chie pas dedans par respect pour mon (mes) art(s) que je pratique peu faute d’aucun contrat.
Parce que ça devient dangereux. Avant ça allait pas non plus. Et je ne sais pas me battre. En fait dans une période aussi dominée par la violence je ne sais vraiment pas de quoi parler. Hors pornos et violence que propose-t-on aux adultes dans les médias ? Et dans la vie ? Eh bien moi je voulais proposer du divertissement de la rigolade autant que les mots peuvent en porter.
Je voulais écrire à plusieurs voix. Pas que je leur envoie une lettre, une bouche ne sait pas lire. Mais écrire comme un schizophrène que je suis. Genre j’ai mon style, je travaille mon dialogue intérieur. Ou je le travaillais. Dialogue pas toutes à la fois, deux voix deux mains deux yeux.
J’espère que cette fois j’aurais évacué les écueils et que mon livre provoquera une vraie révolution authentique. Et qu’on ne m’en tiendra pas rigueur.
Refresco por favor.
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