Cette nuit en sortant du carré (sur la passerelle) – Viens voir. Je vais te crever un oeil je ne te laisse pas le choix – Non écoute je rentre chez moi j’ai la télé à gauche le chien à droite et la chandelle en face!

Ils te chopent bourrés sur la voie publique Ils t’invitent au commissariat Ils t’interrogent (bidon) tu les entends gueuler dans toutes sortes d’appareils Tu demandes un café le policier commande un café et le boit devant toi Tu demandes à parler à ton père ta mère il habite où on l’aura celui-là Ton avocat allez…

Je suis aller chercher des os tendre. Pas trouvé. Attendu toute la journée. Le type au téléphone il était bouché. Puis je suis rentré sur Liège. Bouchons. J’ai fait le mur à Namur. Pas une belle escapade.

« Fumer c’est anti-social » Et courir les rues ? crier sous les toits ? Mieux vaut être tranquille chez soi bien au chaud. – « J’ai perdu mon travail parce que je fumais » Bien moi aussi et mon travail c’était pas un cadeau! – « Ça coûte cher » Quand on aime on ne compte pas ! – « C’est…

– Venez sinon on sera encore obligés d’égorger vos grands-mères – Mes grands-parents sont décédés depuis longtemps – Sinon on tuera vos parents – J’attendais justement un héritage – Sinon on prend votre femme – Tu me laisses un numéro j’en ai pas de téléphone de pute!

– Nous deux c’est fini – Nous je connais pas. Moi je sais pas. – Ah tu avoues ton ignorance ! – T’as un logo ? Un panneau ? Il y a une adresse ? C’est quoi nous deux ? [contact-form][contact-field label=’Nom’ type=’name’ required=’1’/][contact-field label=’Email’ type=’email’ required=’1’/][contact-field label=’Site web’ type=’url’/][contact-field label=’Commentaire’ type=’textarea’ required=’1’/][/contact-form]

Que je tue dix femmes, tu t’en branles. Right ? Faire des cas de conscience, pas la peine. Autant s’arracher les boutons.

On a affaire à de petites gens. Sans doute que hier j’ai regardé la vidéo sur un mystérieux locataire qui avait fait assassiner la famille de son propriétaire. Sans doute qu’on a affaire à de petits criminels, qui n’ont pas peur d’agir bassement (sans blague s’ils sont bas les fauves et qu’ils sautent haut ?)…

Je m’appelle Manuel Dahmen. Je suis menacé de mort ou pire dans mon pays, ma province, dans ma propre ville au sortir de mon domicile. Je ne sais plus où demander de l’aide car je ne trouve plus le repos ni la tranquilité. Je suis harcelé de toutes parts.  

D’abord pour savoir si je suis pas juif tu devras me sucer ! Et puis si tu veux savoir si je suis pas pédé tu devrais m’enculer ! Esp!ce de tarlouze israélïte ! Et quand tu l’auras au fond du trou de balle et que la merde te resortira par la bouche sale noir !